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Un jour, Tamazight: Rien ne sert de pourrir, il faut martyre à point !

Apparemment, le pourrissement est à l’ordre du jour. Edifié comme une nouvelle feuille de route adossée à la loi de finances 2018. Contrairement à se que croit un certain Amari, des berbères sont bel et bien morts quelque part entre Blida, Souk Ahras et Tighenif, toutes des ville berbères… Certains ont même été décapités à Rome et sous les pyramides. D’autres ont eu droit à la guillotine française avant qu’un certain Chawki ne sache que c’est un Amazigh d’El Mouradia, mort à Constantine, qui lui a libéré son pays pour qu’il puisse ensuite lui cracher à la gueule. Démocratiquement.

​Connaissant fort bien le gus, il doit fort bien jubiler de tant de publicité faite à sa fugace chronique, lui l’adepte d’huile d’olive et des figues de barbarie et de bières avec alcool. Commissaire mortellement navet dans un métrage scénarisé par des kabylo-arabes, il doit certainement être en manque de nouvelles sollicitations dans lesquelles il aurait gravi les échelons et serait devenu lieutenant.

​ Car et c’est connu, dans ce pays algériennement arabe, on ne devient pas lieutenant sans avoir matraqué les casseurs de Ramadhan et les Amazigh.

​Bref, il y a plus sérieux que ce sujet, puisqu’on apprend aux dernières dépêches de Saout Falastine, que le quidam responsable de Brobro machin, c’est envolé pour Tel Aviv pour y combattre les Amazigh… Grand bien lui fasse, il aura au moins l’occasion de se frotter à ses frères sionistes et à ses ennemis berbères. Espérant qu’il ne meurt pas en martyre de la cause saoudienne, meilleur ennemi de la Palestine…

M. Kassi

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