Pourquoi dès qu’un ministre, un élu, un opérateur public ou privé, un investisseur (local pas émirati), ne roule pas dans le sens du poil des dirigeants décideurs, et des cercles maîtres des leviers de commande du pays, est-il précipitamment et sans ambages, mis hors circuit ?
Même si nous connaissons et méprisons les attitudes des Saidani, Ould Abbas ou plus près de nous le fameux Tliba talba m’îicha, il est tout de même curieux que les éjections se font à deux vitesses. Les unes avec une lenteur exaspérante, les autres avec une dextérité à semer le doute dans l’esprit du plus crédule.
Tliba a été trop vite en besogne, convaincu certainement par quelques cercles que le coup de la Coordination pour un cinquième mandat, était jouable. Parions même qu’il a du avoir des assurances et pourquoi pas que l’opération émanait des hautes sphères.
Par contre personne ne comprend que la SNTA unique producteur du produit algérien et étranger sous licence, ait mérité de se retrouver propriétaire minoritaire face particulièrement à des désormais associés d’outre mer…rouge. Et là presque nul ne s’en offusque. Naïvement, beaucoup ont fini par croire que les Chakib, Bouchouareb et consort, ont mené cette opération pour forcer les Algériens à cesser de fumer.
M.KASSI