Mohamed Boudiaf n’a pas été tué au Maroc, ni à Madrid, ni à Berlin, il a été lâchement assassiné par quelqu’un qui était sensé assurer sa surveillance dans son propre pays, en Algérie. Disons le clairement, par un membre de l’Armée Nationale Populaire. Un fœtus militaire en casquette et kalachnikov mitraillant quelqu’un comme quand on est saoul et qu’on ne sait pas qu’on tire sur son propre père.
La mort du père de la Révolution demeurera cachée et tue, tout comme celle d’Abane Ramdane, de Khider, de Krim Belkacem et tant d’autres inconnus à cause de leur enfouissement à la chaux, loin des regards des Algériens.
Des Palestiniens à ne pas en douter, ont voulu mettre fin à la vie du premier Ministre Rami Hamdallah. Pourquoi ? Les Musulmans font au 21ème siècle, ce que les Chrétiens faisaient au 16 et 17ème siècle : ils décapitaient leurs rois sans savoir où cela les mènerait.
A part égorger des moutons de jour de l’Aïd, l’activité préférée des Musulmans est d’égorger des êtres humains du côté de Ben Talha ou de Sidi Moussa même si c’est le 21ème siècle. Surtout s’il s’agit d’un gaouri gambadant du côté de Tigjda ou de Tizi Ouzou.
De toutes façons, il paraît que si vous prononcez la chahada, vous êtes prioritaire pour passer en premier au Paradis.
Sachant que Pasteur qui a sauvé des millions d’âmes grâce à son vaccin, n’a jamais prononcé la Chahada, je dis moi, qui l’aie prononcée, que je suis prêt à lui céder ma place.…
M. Kassi