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Quand on se sent chez soi partout en Algérie, il faut d’abord y vivre.

Cela m’étonne quelque peu quand des Algériens volontairement exilés déclarent qu’ils sont toujours attachés au pays qui constitue leur principale source d’inspiration dans leurs œuvres artistiques.

Idir, l’icône incontournable de la chanson kabyle et moderne, n’échappe pas à cette sentence. Il dit dans une interview accordée au quotidien El Watan qu’il est un Amazigh qu’il se sent chez lui partout en Algérie. Cela à la veille d’un concert qu’il donnera le 27 avril à l’Olympia de…Montréal.

On ne savait pas encore que cette commune lointaine des trappeurs faisait partie de notre territoire. Grand bien lui fasse, on ne peut pas lui interdire de se présenter hors frontières, mais il n y a pas à trop en faire surtout quant on a abandonné et boycotté son pays pendant une quarantaine d’années. Particulièrement celles noires.

Reconnaissons tout de même à quelqu’un qui selon ses dires et la réalité a beaucoup apporté à la langue amazighe et à la culture algérienne.

Il y a juste un hic, c’est cette phrase : « Il y a beaucoup de gens de bonne volonté qui appartiennent aux arcanes du Pouvoir et qui ont vraiment envie de faire des choses… ».

Là, on est en droit de répondre « On veut des noms ! ».

M. Kassi

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