Affaires et scandales annoncés comme par hasard : L’Eté sera faussement chaud, comme d’hab
Nous n’avons pas encore fini avec l’histoire des 701 kg de cocaïne pure. Qui est Kamel Chikhi, dit le boucher et subitement devenu le collègue de Donald Trump dans les transactions immobilières ? Qui sont ses deux frères ? Étaient-ils dans la promotion, la boucherie ou une autre activité ? Comment s’appellent les douaniers espagnols de Valence qui ont ouvert la boîte pandore avant de la refermer ? Étaient-ils à leur tour dans la boucherie hallal, agents immobiliers ou simples exécutants ?
Toute cette affaire n’est donc toujours pas élucidée et voilà qu’on nous sert un nouveau scandale ayant trait cette fois-ci à une sombre opération de panneaux publicitaires illégalement exploités, livrés et vendus aux autorités wilayales d’Alger sans que Zoukh le gouverneur de la capitale ne trouve à redire même s’il a, à plusieurs reprises, tenté d’en interdire l’exploitation.
Cette interdiction a été prononcée une première fois en 2016, mais le patron gérant de cette filière n’en a pas tenu compte et a continué à orner nos autoroutes en traitant directement avec les APC. Ce qui a poussé le premier magistrat d’Alger à ordonner leur démantèlement. Surtout suite au décès d’un ouvrier qui tentait d’agrandir un de ces panneaux au niveau de Ben Aknoun.
Il se raconte que le DG, un certain Hadj Saïd Merad, de cette Sarl dénommée AD Display ex Avenir Décoration, n’en a cure des injonctions du Wali et qu’il continue d’agir comme bon lui semble.
Mais il se raconte tellement de choses en cette basse contrée, qu’on ne sait plus à quel panneau se pendre.
M. Kassi