Terro-Tourisme : Jijel, ville pilote pour la destination Algérie
Le Maire d’El Aouana donne l’exemple
Nous le disions hier, la nausée en Algérie, est une réaction médicalement maligne et justifiée. Aujourd’hui il sera question du décret du maire d’El Aouana dans la wilaya de Jijel.
Il fut un temps où le somptueux paysage de Jijel était offert aux membres armés du groupe terroriste de l’AIS. Aujourd’hui, il est l’acquis d’un descendant des premiers nommés qui décide que le port de short sera interdit cet été dans sa commune.
En Arabie Saoudite les femmes peuvent conduire, à Jijel on doit aller à la plage en jean et pourquoi pas en paletot. Les nuits sont tellement froides !
Mais ce que les jijiliens n’ont pas compris, c’est que la PAPC interdit le short pour exiger que ses citoyens et citoyennes se promènent en culotte dans le cadre du développement touristique !
Au vue de la chaleur et du rut ambiants tels que dévoilés par les réseaux sociaux, le patron d’El Aouana prend le taureau par les cornes et interdit le short parce qu’il fait trop chaud, donc il recommande des culottes vendues roses à la Navratilova à bas prix dans les marchés de Ferdjioua et de Guenzet.
Hors hydrocarbures, tout le monde le sait, même Bouteflika, nous n’avons rien à part quelques dattes pourries, des pommes de terre dopées aux hormones, du djelbab flambant saoudi, de la saleté des cités, le zèle mal placé d’élus locaux qui interdisent le short tout en forniquant dans leur bureau après avoir été élu grâce à une promesse d’entrée au Paradis par la porte gauche surnommée Errayane.
Imaginez, un responsable algérien, les jambes croisées, assis au fond de son fauteuil, vous donnant des leçons de moral pendant qu’il sniffe de la coque, viole sa secrétaire, tabasse sa femme, met en prison des représentants des droits de l’Homme, exige le port du hidjab à sa fille en jean moulant, change son fric au square Port Saïd, donne de la tchipa à des procureurs et…envoie ses enfants se frotter à la civilisation occidentale…
M. Kassi