Dans la djahiliya, (période antéislamique), des Sultans, Emirs et autres chefs de tribus arabes offraient de grosses sommes d’argent aux poètes qui faisaient leurs éloges notamment devant leurs ennemis et/ou adversaires. Ces potentats se prévalaient de ces poèmes faits d’apologies envers eux et/ou leur règne, devant aussi bien leurs opposants et rivaux. On appelait cela poésie du Medh. On n’en est pas loin.
