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6e Grand prix littéraire « Mohammed Dib » : Les trois lauréats récompensés

En ce jeudi 11 octobre 2018, le jury du grand prix littéraire « Mohammed Dib », réuni sous la direction de son président M. Mohammed Sari et de Mme Affifa Bererhi, vice-présidente, a annoncé les noms des trois lauréats de cette 6e édition.
Le prix du meilleur roman en langue arabe a ainsi été attribué à Smail Yebrir, pour « Moul el hira », celui du meilleur roman en langue amazighe est revenu à Fahim Messaoudène pour « Anza », enfin le prix du meilleur roman en langue française a été décerné à Mohamed Saadoun pour « Débâcle ».
Pour rappel, le Conseil du prix littéraire « Mohammed Dib » s’était réuni à la fin du mois de juin dernier sous la direction de Mme Sabeha Benmansour, présidente de l’association culturelle « La Grande Maison », créatrice du prix. Après débats et délibérations, le conseil avait rendue publique la deuxième et avant-dernière présélection des auteurs-candidats.
Ainsi, sur les 18 œuvres littéraires en arabe, 10 en langue amazighe et 32 en français, présélectionnées en avril 2018, les membres du Conseil ont arrêté la short liste où figuraient
7 auteurs en langue arabe (Badreddine Khelifi, Karima Benali, Amina Cheikh, Mohamed Kadik, Mohamed Katilitah, Nadjet Dahmoun et Smail Yebrir), 3 auteurs en langue amazighe (Djedjiga Anaris, Belkacem Meghzouchène et Fahim Messaoudène) et 10 auteurs en langue française (Lynda Chouiten, Jaoudet Gassouma, Selma Guettaf, Aïcha Kassoul, Mohamed Magani, Adlène Meddi, Amina Mekahli, Slimane Saadoun, Mohamed Sadoun et Amin Zaoui).
Finalement, les noms des trois heureux lauréats ont été dévoilés aujourd’hui, jeudi, en fin d’après-midi. Les lauréats recevront chacun un chèque d’1 million de dinars.
Il est à noter enfin que ce prix visant à promouvoir la jeune écriture algérienne, récompense tous les deux ans l’auteur d’un roman ou recueil de nouvelles, écrit en arabe, en tamazight et en français.
Habib Ayoub a été le premier à décrocher ce prix pour son recueil de nouvelles « C’était la guerre », suivi de Kamel Daoud en 2008 puis Bouziane Benachour et Maachou Blidi en 2011, ainsi que la journaliste de langue arabe, Mimi Hafeda, la même année.
Kahina A.

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