- Advertisement -

Le projet de CHU de TIZI OUZOU

Il est de notoriété publique que le projet de CHU de Tizi Ouzou, ce projet structurant pour la région de Kabylie est gelé depuis 2015 par le Gouvernement.  En ce temps déjà,  le RCD a tiré la sonnette d’alarme en organisant une marche en octobre 2015 au chef lieu de la Wilaya pour alerter l’opinion par le gel d’un ensemble d’équipements structurants pour la Wilaya y surtout ce CHU. A l’époque c’était leGouvernement Sellal. Après c’est l’arrivée de i’éphémère Gouvernement Tebboune, puis  c’est le retour d’Ouyahia comme chef du Gouvernement à ce jour , pour bien sûr, la mise en œuvre du programmedu Président . Mais le projet du CHU de Tizi Ouzoureste encore gelé.

L’actuel hôpital est sollicité par des patients venantde Boumedes, Bouira et Béjaia, en plus de ceux de Tizi.  Donc le « dégel » de ce projet et sa réalisationest une exigence plus que nécessaire pour la prise en charge de  cette demande toujours croissante. Aujourd’hui il étouffe selon les malades et les médecins qui y exercent. Cette situation est connuede la population et des spécialistes de la santé depuis déjà plusieurs années en arrière. Ce qui a attiré notre attention et appelle de nombreuses questions c’est ce titre en gras du journal El Watan du 8/11/18, dans une de ses pages intérieures : Le RND interpelle le président de la république. En lisant le corps de l’article, les lecteurs trouvent que c’est l’inamovible député RND de Tizi-Ouzou qui écrit une lettre au président au sujet de ce projet gelé par le gouvernement alors que son chef au Rnd est le chef du gouvernement actuel, constate un lecteur. Et ce dernier de continuer : Ce député n’était pas vu à la marche qui dénonçait ces gels arbitraires en 2015,que rappelait d’ailleurs l’auteur de l’article en question, il est connu aussi pour ce genre de pratiques. Chaque fois qu’il reçoit un citoyen, un comité de village ou de quartier, sa méthode est la même , il prend un stylo, il rédige une lettre au responsable concerné et la poste sur sa page Fb et le tour est joué. Les citoyens qui ont eu affaire à lui, le surnomment  d’ailleurs, le «  député-écrivain public. »

Notre lecteur nous dit une telle question doit être soulevée à l’hémicycle du parlement . Et là, on entendra la voix de ce député.

A. HAMADI

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More

%d bloggers like this: