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Avant-veille d’élection présidentielle : L’Algérie, pays non pas émergeant mais submergé

Dans tous les pays du monde civilisé, les élections présidentielles se préparent dans la fête. Avec Flonflon et ballons rouges. Les prétendants au trône s’affrontent dans un concours fair-play le sourire aux lèvres et le programme politique en main.

Chez nous et dans la plupart des pays africains, il est question de report, de manifestations violentes des perdants à ces joutes et souvent de morts. Malheureusement, l’Armée est toujours mêlée à ces perturbations pour la simple raison que dans la tête des sous-développés, quand on a une arme, il faut bien s’en servir. Et cela est plus facile contre son propre peuple. Notre pays est menacé à l’est, à l’ouest et au sud par des armées de djihadistes fuyant leur défaite dans des pays tiers et que font Ouyahia, Ould Abbès et tous les Saïd ?

Ils « répétitent » la vieille chanson de la main de l’étranger. L’armée coloniale française s’occupait à casser du bougnoul, l’armée algérienne indépendante s’adonne à casser du travailleur, de l’étudiant, du médecin, du retraité de l’armée, du journaliste et un jour sûrement de la femme de ménage qui a eu le culot de nettoyer les escaliers par le haut car voyant là une intention séditieuse…

Arrêtez de nous sortir des histoires de boucher, de Tahkout, de Rebrab, de Bellat, de Mazouzi et de pitoyables Bouâakaz et Boukhors.

Sortez dans la rue messieurs les généraux en activité et messieurs les ministres, et demandez à tout jeune que vous croisez, à tout chauffeur de taxi, coiffeur ou facteur ce qu’ils pensent et disent de vous à longueur de journée. Leur réponse ne vous surprendra sûrement pas. Puisque vous la connaissez.

M. Kassi

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