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Comme Ouyahia, Benjamin Griveaux parle des présidentielles Algériennes comme si la rue Algérienne est un long fleuve tranquille

Le gouvernement français semble atteint d’autisme au même titre que son appendice d’Alger. Il ne souffle mot sur le mouvement populaire en marche en Algérie. Il ignore complétement l’histoire qui s’écrit dans les rues Algériennes.  A entendre son porte parole rendre compte sur la question Algérienne,  » abordée brièvement lors du conseil des ministres tenu ce mercredi », on dirait que son porte parole, Benjamin Griveaux, faisait un speech dicté dans l’ambassade Algérienne à Paris. On est en plein dans la jonction d’intérêts entre le  Paris officiel et Alger la soumise.

Dans sa déclaration à la presse, Benjamin Griveaux a annoncé que « Sur la question de l’Algérie, elle a été très brièvement évoquée ce matin. On a pris note de la décision du Président Abdelaziz Bouteflika de se porter candidat à l’élection présidentielle. On souhaite que cette élection se déroule dans les bonnes conditions en assurant la transparence de la campagne »

Il a souligné que « c’est au peuple algérien et à lui seul qu’il revient de choisir ses dirigeants, et de décider de son avenir, et cela dans la paix et la sécurité », notant que l’Algérie est « un pays ami, un partenaire important auquel nous rattachent des liens d’une exceptionnelle densité qui sont les fruits de l’histoire ».

« Nous formons le vœu que cette élection donne à l’Algérie l’impulsion nécessaire pour faire face aux défis qui sont les siens et pour répondre aux revendications profondes de sa population », a-t-il conclu.

Moussa T

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