Pour disperser les foules de jeunes qui se rendaient à Bouira ville, la police a utilisé des bombes lacrymogènes et des balles en caoutchouc, selon plusieurs témoignages partagés sur facebook.
Résultat de cette répression : trois citoyens ont eu l’œil éclaté. Un bilan lourd que rien ne justifie. La loi interdit formellement aux forces de l’ordre de viser avec leurs outils lanceurs les corps et visages des manifestants lors des opérations de remise de l’ordre. Les hautes autorités sécuritaires doivent intervenir en urgence pour arrêter cette utilisation abusive et maladroite de la force ayant entrainé des blessures extrêmement graves et ouvrir une enquête pour situer les responsabilité , sanctionner les zélés et rétablir les blessés dans leur droit.
Nadia Mehir